HAWA - Tassadit driss, chef d’entreprise : Le couscous bio, de riz, de sorgho et de soja, nouvelles dégustations pour un plat national
Madame Driss a été primée lors de la journée mondiale de l’alimentation à l’INRA, (institut national de la recherche agricole) pour ses efforts dans ce qu’elle entreprend, à savoir la confection de diverses qualités de couscous roulé à la main. Elle sont nombreuses les femmes qui ont opté pour ce créneau de moyenne industrie. En réalité, Madame Driss a déjà un passé dans la gestion d’un atelier de confection de vêtements. Pour des raisons personnelles, elle décide, un jour, de se lancer dans les produits de consommation traditionnelle.
Le couscous étant le plat national, elle n’aurait pas trouvé mieux. En réalité, si madame Driss a été honorée c’est grâce à son esprit d’innovation. Cette dame à la taille élancée, douce et sobre dans ses propos a eu la géniale idée de mettre sur le marché d’autres produits se rapportant au couscous. Son entreprise qui emploie une quinzaine de femmes propose des grains de couscous autres que ceux traditionnellement consommés ou qui ne le sont plus. Ainsi on peut commander à madame Driss le couscous de riz et de maïs «pour les malades céliaques», de semoule de gland, du couscous bio, «à partir de blé planté et ensemencé sans engrais chimiques».
« Ce sont des petits agriculteurs versés dans la culture bio qui me le rapportent ».
Fonceuse, la chef d’entreprise fait elle-même la distribution de sa production dont le label « Imoula » du nom de son village natal. Elle s’est taillée une place dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Sales des fêtes, restaurateurs, clientèle particulière, grandes surfaces sont les clients qui s’approvisionnent auprès de la petite fabrique «Imoula».
Depuis peu elle s’est mise au « couscous de soja et de sorgho » encore une nouveauté à déguster lorsqu’on sait que ces plantes, très à la mode, possèdent des propriétés nutritionnelles bénéfiques pour la santé.
«Avec deux petits séchoirs, appareils de séchage du couscous d’une contenance de 25 kg chacun je peux fournir quotidiennement une moyenne de 30 kg de couscous». Le vendredi, jour de repos des ouvrières, madame Tassadit ne reste pas inactive. Elle est présente dans son local afin d’achever les différentes tâches à accomplir. On comprend pourquoi cette femme volontaire et innovatrice a été primée.
Le couscous étant le plat national, elle n’aurait pas trouvé mieux. En réalité, si madame Driss a été honorée c’est grâce à son esprit d’innovation. Cette dame à la taille élancée, douce et sobre dans ses propos a eu la géniale idée de mettre sur le marché d’autres produits se rapportant au couscous. Son entreprise qui emploie une quinzaine de femmes propose des grains de couscous autres que ceux traditionnellement consommés ou qui ne le sont plus. Ainsi on peut commander à madame Driss le couscous de riz et de maïs «pour les malades céliaques», de semoule de gland, du couscous bio, «à partir de blé planté et ensemencé sans engrais chimiques».
« Ce sont des petits agriculteurs versés dans la culture bio qui me le rapportent ».
Fonceuse, la chef d’entreprise fait elle-même la distribution de sa production dont le label « Imoula » du nom de son village natal. Elle s’est taillée une place dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Sales des fêtes, restaurateurs, clientèle particulière, grandes surfaces sont les clients qui s’approvisionnent auprès de la petite fabrique «Imoula».
Depuis peu elle s’est mise au « couscous de soja et de sorgho » encore une nouveauté à déguster lorsqu’on sait que ces plantes, très à la mode, possèdent des propriétés nutritionnelles bénéfiques pour la santé.
«Avec deux petits séchoirs, appareils de séchage du couscous d’une contenance de 25 kg chacun je peux fournir quotidiennement une moyenne de 30 kg de couscous». Le vendredi, jour de repos des ouvrières, madame Tassadit ne reste pas inactive. Elle est présente dans son local afin d’achever les différentes tâches à accomplir. On comprend pourquoi cette femme volontaire et innovatrice a été primée.
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