A l’occasion de l’Aïd El Fitr : Rush vers les salons de coiffure
L’Algérienne, soucieuse de son look, tient en cette période de fête à passer chez la coiffeuse. Ce passage est devenu impératif pour changer de tête et surtout paraître plus belle que d’habitude le jour où on reçoit le plus de convives. Ceci a généré une « bousculade » dans les différents salons de coiffure ; si bien que les coiffeuses ont établi un programme spécifique à cette période. Ainsi, après un repos durant la première quinzaine, les voilà ouvrir le salon à raison de deux rotations par jour : le matin jusqu’au f’tour puis en soirée jusqu’à une heure tardive. Certaines coiffeuses ingurgitent le repas de l’iftar sur place.
Nabila, qui dispose d’un salon dans le quartier de Dar El Beïda, affirmera que « pendant la première moitié du ramadhan, je ne travaillais presque pas, les femmes s’occupaient beaucoup plus de la cuisine. Rares sont celles qui sortent la nuit pour passer des soirées. Cependant, à partir de la deuxième quinzaine, les choses commencent à changer, les clientes reprennent le chemin des salons », ajoutera-t-elle. Le retour des clientes au salon est dicté par plusieurs raisons : les cérémonies de circoncision, la remise de la m’hiba (cadeau) pour la future mariée ou encore la célébration des fiançailles. Des circonstances qui profitent largement aux coiffeuses qui redoublent le travail à la dernière semaine de ramadhan et la veille de l’Aïd. Rien n’est laissé au hasard, teinture, mèches, coupe et peeling du visage, sont autant de soins qui permettent à la femme de mettre en évidence sa beauté. « Toutes les applications sont demandées, avec en tête les teintures, les mèches et le balayage des cheveux. Le brushing est plus demandé à la veille de l’Aïd. D’ailleurs ce jour-là nous resterons ouverts jusqu’à 2 heures du matin et nous n’acceptons pas d’application de teinture », affirmera une coiffeuse d’Alger. Dans cet élan de fête, même les coiffeuses à domicile travaillant au noir sont sollicitées, permettant ainsi pour un certain nombre de femmes d’entretenir leurs cheveux à moindre frais. Cette frénésie de la coiffure s’est même emparée des enfants qui viennent disputer une place dans les salons. Pour les petites mioches, le brushing et les coupes sont un rituel indissociable de la belle tenue de l’Aïd. Une manière d’épater son voisinage et ses connaissances. Et avec l’approche de la rentrée scolaire coïncidant avec l’Aïd, la demande ne sera que forte. Etre beau le jour de l’Aïd n’est pas l’apanage de la seule gent féminine. Les hommes aussi sollicitent les services des coiffeurs pour une coupe. Généralement, ces derniers passent entre les mains du coiffeur la nuit du destin. Une manière de devancer les retardataires et s’assurer d’avoir une belle tête le jour J.
Nabila, qui dispose d’un salon dans le quartier de Dar El Beïda, affirmera que « pendant la première moitié du ramadhan, je ne travaillais presque pas, les femmes s’occupaient beaucoup plus de la cuisine. Rares sont celles qui sortent la nuit pour passer des soirées. Cependant, à partir de la deuxième quinzaine, les choses commencent à changer, les clientes reprennent le chemin des salons », ajoutera-t-elle. Le retour des clientes au salon est dicté par plusieurs raisons : les cérémonies de circoncision, la remise de la m’hiba (cadeau) pour la future mariée ou encore la célébration des fiançailles. Des circonstances qui profitent largement aux coiffeuses qui redoublent le travail à la dernière semaine de ramadhan et la veille de l’Aïd. Rien n’est laissé au hasard, teinture, mèches, coupe et peeling du visage, sont autant de soins qui permettent à la femme de mettre en évidence sa beauté. « Toutes les applications sont demandées, avec en tête les teintures, les mèches et le balayage des cheveux. Le brushing est plus demandé à la veille de l’Aïd. D’ailleurs ce jour-là nous resterons ouverts jusqu’à 2 heures du matin et nous n’acceptons pas d’application de teinture », affirmera une coiffeuse d’Alger. Dans cet élan de fête, même les coiffeuses à domicile travaillant au noir sont sollicitées, permettant ainsi pour un certain nombre de femmes d’entretenir leurs cheveux à moindre frais. Cette frénésie de la coiffure s’est même emparée des enfants qui viennent disputer une place dans les salons. Pour les petites mioches, le brushing et les coupes sont un rituel indissociable de la belle tenue de l’Aïd. Une manière d’épater son voisinage et ses connaissances. Et avec l’approche de la rentrée scolaire coïncidant avec l’Aïd, la demande ne sera que forte. Etre beau le jour de l’Aïd n’est pas l’apanage de la seule gent féminine. Les hommes aussi sollicitent les services des coiffeurs pour une coupe. Généralement, ces derniers passent entre les mains du coiffeur la nuit du destin. Une manière de devancer les retardataires et s’assurer d’avoir une belle tête le jour J.
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