APC en situation de blocage : «Priorité au dialogue entre élus», estime la classe politique
L’imbroglio qui caractérise depuis des mois bon nombre d’APC nécessite dialogue et concertation entre élus pour mettre un terme aux divergences, à l’origine de la situation du blocage dans laquelle se trouvent ces assemblées locales. C’est le souhait affiché par des représentants de partis politiques qui sont unanimes pour dire que «seule la communication peut surpasser l’impasse et débloquer la situation».
Miloud Chorfi, porte-parole du RND indique que le citoyen ne doit en aucun cas être otage des luttes à lesquelles se livrent les membres du Conseil communal, «l’intérêt du citoyen ne doit pas être au centre des malentendus entre élus. Malheureusement, c’est le cas chez nous où le dysfonctionnement presque total de l’APC devient maître des lieux au moindre conflit qui s’éclate à l’intérieur de l’assemblée».
M. Chorfi n’a pas désiré commenter le nombre de 31 APC bloquées, suite à ce genre de conflits, annoncé jeudi dernier par le ministre de l’Intérieur, Ould Kablia. «Nous n’avons pas le nombre exact des communes qui sont bloquées. Ce qui est important, cependant, est que le phénomène est devenu inquiétant car il s’agit de l’intérêt direct du citoyen. Notre parti n’est pas épargné, car nous sommes confrontés à ce type de conflit dans une APC à Laghouat où le fonctionnement est paralysé suite aux divergences de points de vues entre membres du Conseil communal», indique Miloud Chorfi citant le nombre de 3800 élus RND dont près de 500 APC gérées exclusivement par le parti. Le MSP qui ne dispose pas du nombre de communes en dysfonctionnement, espère voir le mandat actuel des APC arriver à son terme «sans recourir au renouvellement des conseils des assemblées», dira le chargé de la communication du parti M. Djemâa. Il insiste dans ses propos que le nouveau code communal devra statuer «d’une manière précise et explicite», dit-il, sur le règlement de ce genre d’obstacle qui entrave les collectivités locales.
Ayachi Daadoua, du FLN qui reconnaît l’ampleur que prend le phénomène «y compris des APC gérées par le parti de Belkhadem» précise-t-il, indique, à son tour, que «seule la voie de la négociation peut résoudre les conflits entre élus». Ce député du parti majoritaire affirme, à ce propos, que son parti tiendra aujourd’hui une conférence-débat sur les collectivités locales et le nouveau code communal pour débattre du sujet.
Il sied de noter à cet effet que contrairement aux vœux de certains élus, instigateurs de conflits, le ministère de l’Intérieur a exclu tout recours à l’organisation d’élections partielles pour régler le problème de l’impasse dans laquelle se trouvent certaines communes.
Miloud Chorfi, porte-parole du RND indique que le citoyen ne doit en aucun cas être otage des luttes à lesquelles se livrent les membres du Conseil communal, «l’intérêt du citoyen ne doit pas être au centre des malentendus entre élus. Malheureusement, c’est le cas chez nous où le dysfonctionnement presque total de l’APC devient maître des lieux au moindre conflit qui s’éclate à l’intérieur de l’assemblée».
M. Chorfi n’a pas désiré commenter le nombre de 31 APC bloquées, suite à ce genre de conflits, annoncé jeudi dernier par le ministre de l’Intérieur, Ould Kablia. «Nous n’avons pas le nombre exact des communes qui sont bloquées. Ce qui est important, cependant, est que le phénomène est devenu inquiétant car il s’agit de l’intérêt direct du citoyen. Notre parti n’est pas épargné, car nous sommes confrontés à ce type de conflit dans une APC à Laghouat où le fonctionnement est paralysé suite aux divergences de points de vues entre membres du Conseil communal», indique Miloud Chorfi citant le nombre de 3800 élus RND dont près de 500 APC gérées exclusivement par le parti. Le MSP qui ne dispose pas du nombre de communes en dysfonctionnement, espère voir le mandat actuel des APC arriver à son terme «sans recourir au renouvellement des conseils des assemblées», dira le chargé de la communication du parti M. Djemâa. Il insiste dans ses propos que le nouveau code communal devra statuer «d’une manière précise et explicite», dit-il, sur le règlement de ce genre d’obstacle qui entrave les collectivités locales.
Ayachi Daadoua, du FLN qui reconnaît l’ampleur que prend le phénomène «y compris des APC gérées par le parti de Belkhadem» précise-t-il, indique, à son tour, que «seule la voie de la négociation peut résoudre les conflits entre élus». Ce député du parti majoritaire affirme, à ce propos, que son parti tiendra aujourd’hui une conférence-débat sur les collectivités locales et le nouveau code communal pour débattre du sujet.
Il sied de noter à cet effet que contrairement aux vœux de certains élus, instigateurs de conflits, le ministère de l’Intérieur a exclu tout recours à l’organisation d’élections partielles pour régler le problème de l’impasse dans laquelle se trouvent certaines communes.
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