Terrorisme : Quatre ans de prison pour soutien au terrorisme
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Le Tribunal criminel de la Cour d’Alger a prononcé jeudi, une peine de quatre ans de prison ferme, à l’encontre de Tahiri Abdelhaq Sief et son oncle Tahiri Abdelkader, poursuivis pour chantage, extorsion de fonds et financement d’un groupe terroriste armé. Le parquet général avait requis une peine de 8 ans de prison ferme, contre les deux prévenus. Avec ce jugement, les deux accusés ont été libérés jeudi ayant ainsi purgé leurs peines puisqu’ils ont été incarcérés depuis le troisième trimestre 2006. En 2006 les deux accusés ont pratiqué un chantage sur un propriétaire d’un commerce situé dans la Capitale, au nom d’un groupe terroriste, le menaçant de «mitrailler son local», en cas de non-paiement de sommes importantes.
Ce dernier a déposé une plainte auprès des services de sécurité. Des policiers ont ainsi tendu une embuscade aux deux maîtres chanteurs, qui ont été arrêtés en flagrant délit, munis d’armes blanches, d’une bombe lacrymogène, d’armes factices et de CD de propagande terroriste . Tahri Abdelkader, 43 ans avait des antécédents judiciaires liés à plusieurs affaires terroristes. Il avait reconnu lors de l’audience qu’il avait réellement demandé des sommes importantes, prétextant que la victime devait à son frère (ancien terroriste) une somme de 3,5 millions de dinars. L’accusé Tahiri Abdelhaq avait reconnu que son père était l’émir d’un groupe terroriste activant à Ain Tedlès à Mostaganem dans les années 90.
Ce dernier a déposé une plainte auprès des services de sécurité. Des policiers ont ainsi tendu une embuscade aux deux maîtres chanteurs, qui ont été arrêtés en flagrant délit, munis d’armes blanches, d’une bombe lacrymogène, d’armes factices et de CD de propagande terroriste . Tahri Abdelkader, 43 ans avait des antécédents judiciaires liés à plusieurs affaires terroristes. Il avait reconnu lors de l’audience qu’il avait réellement demandé des sommes importantes, prétextant que la victime devait à son frère (ancien terroriste) une somme de 3,5 millions de dinars. L’accusé Tahiri Abdelhaq avait reconnu que son père était l’émir d’un groupe terroriste activant à Ain Tedlès à Mostaganem dans les années 90.
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