Fabrication de dioul et de qtaïf : Une tradition qui rapporte
La confection et la vente des diouls et qtaïf ont connu au cours des derniers Ramadhans un accroissement effréné. Et pour cause, les gains générés par cette activité s’élève de 50 DA à 60 DA pour une douzaine. Alors beaucoup de familles ont misé sur ce créneau d’autant que son industrialisation n’a pas eu l’effet escompté. Rares, en effet sont les personnes qui achètent des diouls sous cellophane.
En ce mois sacré où les commerces informels pullulent les fabricants des diouls ne chôment pas. Ils redoublent même d’efforts tant la demande est importante. Parmi ces confectionneurs d’occasion, Meriem. Rien ne présageait qu’un jour, cette dame de 40 ans, s’adonnera à cette activité. Exerçant dans une entreprise publique en régime de brigade, Meriem profite de son temps libre pour préparer l’équivalent de dix kilos de semoule qu’elle écoule sans peine. Cette occupation lui permet de subvenir aux besoins de ses enfants et faire des économies en prévision de l’achat d’un logement.
« Dans mon enfance je voyais notre voisine confectionner les feuilles de diouls. Pour moi cela était un exploit tant la chose était difficile à faire. Une fois adulte je me suis engagée dans cette activité. Ma belle-mère m’y a beaucoup encouragé ». Avec le temps Meriem a excellé dans la fabrication des diouls et les retombées financières ne font que l’encourager davantage. Et c’est son fils qui est chargée de vendre le produit.
Autre fabricante de diouls : Halima. Pour cette quinquagénaire du quartier El Maqaria, la réalisation des feuilles de bric est simple. La qualité de la semouline et l’existence des poêles adhésives facilitent le travail. « Je suis une lève tôt, après le s’hour je me consacre à la confection des diouls jusqu’au petit matin, moment de l’arrivée du vendeur pour qui je cède la marchandise à raison de 35 DA la douzaine », dit-elle. Avec un kilo de semoule mélangé à un peu de farine Halima fabrique 15 douzaines de diouls.
Mais ce n’est pas tout le monde qui maîtrise cet art de la confection. Ainsi, certains clients ont eu la mauvaise surprise de voir leurs feuilles de Diouls s’effriter une fois étalées. La cause ? Trop de farine dans une pâte trop liquide. Pour les qtaïf par contre, la fabrication traditionnelle est limitée. Les raisons invoquées sont la faiblesse de la demande et l’existence sur le marché d’une production à l’échelle industrielle.
En ce mois sacré où les commerces informels pullulent les fabricants des diouls ne chôment pas. Ils redoublent même d’efforts tant la demande est importante. Parmi ces confectionneurs d’occasion, Meriem. Rien ne présageait qu’un jour, cette dame de 40 ans, s’adonnera à cette activité. Exerçant dans une entreprise publique en régime de brigade, Meriem profite de son temps libre pour préparer l’équivalent de dix kilos de semoule qu’elle écoule sans peine. Cette occupation lui permet de subvenir aux besoins de ses enfants et faire des économies en prévision de l’achat d’un logement.
« Dans mon enfance je voyais notre voisine confectionner les feuilles de diouls. Pour moi cela était un exploit tant la chose était difficile à faire. Une fois adulte je me suis engagée dans cette activité. Ma belle-mère m’y a beaucoup encouragé ». Avec le temps Meriem a excellé dans la fabrication des diouls et les retombées financières ne font que l’encourager davantage. Et c’est son fils qui est chargée de vendre le produit.
Autre fabricante de diouls : Halima. Pour cette quinquagénaire du quartier El Maqaria, la réalisation des feuilles de bric est simple. La qualité de la semouline et l’existence des poêles adhésives facilitent le travail. « Je suis une lève tôt, après le s’hour je me consacre à la confection des diouls jusqu’au petit matin, moment de l’arrivée du vendeur pour qui je cède la marchandise à raison de 35 DA la douzaine », dit-elle. Avec un kilo de semoule mélangé à un peu de farine Halima fabrique 15 douzaines de diouls.
Mais ce n’est pas tout le monde qui maîtrise cet art de la confection. Ainsi, certains clients ont eu la mauvaise surprise de voir leurs feuilles de Diouls s’effriter une fois étalées. La cause ? Trop de farine dans une pâte trop liquide. Pour les qtaïf par contre, la fabrication traditionnelle est limitée. Les raisons invoquées sont la faiblesse de la demande et l’existence sur le marché d’une production à l’échelle industrielle.
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