douche froide
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Formation faible, schéma tactique brouillon, absence de stratégies (défensive et offensive) et de cohésion, jeu terne, défense prenable, milieu dépassé et en manque d’inspiration, avec une ligne d’attaque transparente. Ceux sont les caractéristiques par lesquelles s’est distinguée l’équipe nationale face à la RCA. En effet, c’est bien des Verts qu’on parle et non de leur adversaire du jour, qui est, pour le moins que l’on puisse dire, passé à côté de la plaque. Notamment en première période où M’bolhi a dû étaler toute sa classe pour garder sa cage vierge. En seconde période, les choses n’ont pas évolué pour les camarades de Lacen. Mal organisés sur le terrain et visiblement dépassés par les événements, ils ont continué à subir les assauts des coéquipiers de Marida jusqu’au bout. Aujourd’hui, on regrette déjà Saâdane.
Si à son époque, on lui reprochait l’absence d’animation offensive, on ne pouvait pas dire que l’EN n’avait pas d’assise défensive ou de stratégie de jeu. Face à la RCA, c’était carrément l’anarchie sur le terrain. L’équipe nationale a évolué avec un schéma tactique que seul Benchikha lui trouvait un sens. Le sélectionneur national a montré ses limites à trouver une solution pour contrer son homologue le technicien français Accorsi. L’EN, incapable de réagir, s’est inclinée ainsi logiquement face à la République centrafricaine (2-0). Le «général» peut toujours justifier cette humiliante défaite par l’absence de cinq éléments, à savoir Halliche, Ziani, Matmour, Boudebouz et Kadir. Cependant, il aura beaucoup de peine à masquer sa vision et sa philosophie du jeu dépassées. Nos mondialistes sont tombés de très haut, face à une modeste formation, 172e au classement mondial, qui faute de moyens a failli déclaré forfait pour ces éliminatoires.
Une défaite qui laissera forcement des séquelles.
Si à son époque, on lui reprochait l’absence d’animation offensive, on ne pouvait pas dire que l’EN n’avait pas d’assise défensive ou de stratégie de jeu. Face à la RCA, c’était carrément l’anarchie sur le terrain. L’équipe nationale a évolué avec un schéma tactique que seul Benchikha lui trouvait un sens. Le sélectionneur national a montré ses limites à trouver une solution pour contrer son homologue le technicien français Accorsi. L’EN, incapable de réagir, s’est inclinée ainsi logiquement face à la République centrafricaine (2-0). Le «général» peut toujours justifier cette humiliante défaite par l’absence de cinq éléments, à savoir Halliche, Ziani, Matmour, Boudebouz et Kadir. Cependant, il aura beaucoup de peine à masquer sa vision et sa philosophie du jeu dépassées. Nos mondialistes sont tombés de très haut, face à une modeste formation, 172e au classement mondial, qui faute de moyens a failli déclaré forfait pour ces éliminatoires.
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